Dresscode nous offre un EP paradoxe qui mêle lumière et ombre.

Chronique / Reportage / Interview : Emilie Malburny

Le son typiquement new wave de Dresscode fait peau neuve avec « Vision of Failure » un EP pointu et hypnotisant.

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Dresscode

« Light », ouvre le bal avec une musicalité digne d’un début de show à l’américaine, on s’imagine bien une entrée spectaculaire avec le cri des fans survoltés par tant d’attente. Je m’égare mais, en écoutant les premières notes, j’ai clairement ressenti cette impression de grandeur, de lumière.

Il y a un côté pop rock dans les « Don’t turn around » et chez moi cela sonne clairement comme un compliment. « Straight » est sans conteste une transition légitime au premier titre et annonce avec fluidité la touche un peu plus électro de « The Morning After » qui n’est pas sans rappeler les rythmes des titres qu’on écoutait sur, à l’époque, Pure Fm type « Mister Brightside » de The Killers. Je n’aime pas faire de comparaison, mais comment être plus précise dans la description ? Parce que le travail musical apporte sans conteste un côté visuel, les images affluent, on se fait les clips dans notre inconscient, le jeu de lumière sur scène, « Storm » continue la progression des sensations et garde notre cerveau en ébullition lorsqu’on l’écoute avec un casque ou des écouteurs, chanson qui devrait plaire aux « neurospicy » qui pourront en effet ressentir les ondes parcourir leur épiderme.

« Le constat après le premier EP a été qu’il fallait que nous fassions la musique qui nous faisait, nous ! Pas juste de la musique pour plaire »

Nous dit David Brichard.

Parce que Dresscode c’est un mix des influences de David et Fred, les deux leaders. Les indissociables mélancolie et lâcher-prise qui font partie du répertoire du groupe sont toujours présents.

Si l’on peut qualifier le premier EP éponyme de laboratoire, une tentative de passionné, « Vision of Failure », est celui de l’apprentissage, mais, surtout, celui qui surmonte les épreuves.

« Nous avons, cette fois, décidé de mieux nous encadrer, de laisser le mastering aux professionnels et de nous concentrer sur ce que nous faisons de mieux : la musique, tout en collectant les clefs qui allaient nous permettre de mener à bien le projet. »

Je pourrais disserter et disséquer ce nouvel opus, mais où en serait le plaisir ? Le mieux est que vous vous précipitiez sur toutes les plateformes de streaming ou téléchargement pour en profiter et vous faire votre propre opinion.

Pour ce retour, David Brichard, Fred Hyat et Florian Gilot ont mis la barre haut sur l’aspect sensoriel, et on attend avec impatience de les revoir en concert et d’avoir droit à un album complet !

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Dresscode

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