On connaît le réalisateur des Gens du Fleuve et la sensibilité de son regard pour cette Meuse qui lui est essentielle. On connaît moins son goût pour les lumières inattendues des nuits lointaines. Xavier Istasse est un grand voyageur et il nous invite en différents lieux du globe.
Mais ce qu’il présente ici n’a pas le caractère documentaire qu’il a pu développer dans son métier de réalisateur. Ce qu’il partage ici, ce sont ce qu’il appelle des « états de grâce » provoqués par la coïncidence de la rencontre de différentes lumières.
Le photographe saisit ces « opportunités » de lumière. Jamais il ne retouche les images en post-production. Les scènes qu’il capture et dans lesquelles l’humain est quasiment toujours présent sont magnifiées par les lumières ambiantes qui donnent des couleurs vives, étranges, belles. Ce sont des atmosphères qui intriguent et parlent autrement d’un ailleurs.
L’exposition fera la part belle aux images imprimées et aux projections.On connaît le réalisateur des Gens du Fleuve et la sensibilité de son regard pour cette Meuse qui lui est essentielle. On connaît moins son goût pour les lumières inattendues des nuits lointaines. Xavier Istasse est un grand voyageur et il nous invite en différents lieux du globe.
Mais ce qu’il présente ici n’a pas le caractère documentaire qu’il a pu développer dans son métier de réalisateur. Ce qu’il partage ici, ce sont ce qu’il appelle des « états de grâce » provoqués par la coïncidence de la rencontre de différentes lumières.
Le photographe saisit ces « opportunités » de lumière. Jamais il ne retouche les images en post-production. Les scènes qu’il capture et dans lesquelles l’humain est quasiment toujours présent sont magnifiées par les lumières ambiantes qui donnent des couleurs vives, étranges, belles. Ce sont des atmosphères qui intriguent et parlent autrement d’un ailleurs.
L’exposition fera la part belle aux images imprimées et aux projections.
