Greg Houben a le cœur qui balance : entre Belgique et Brésil, entre musique et théâtre, entre jazz et chanson française… C’est un artiste aux multiples facettes, et sa trompette est son amie la plus fidèle : il l’emporte dans ses nombreux projets qui le mènent sur les plus grandes scènes belges et internationales. Si l’on décèle chez Greg Houben des fragments de Mathieu Boogaerts, de Louis Chedid ou de Chet Baker, mêlés à la tendresse d’un Bourvil, on est surtout séduit par sa singularité attachante et sa manière élégante et chaloupée de raconter sa propre histoire.
Dans ce dernier album, il chante les remises en question liées à la (mise en) quarantaine, les relations amoureuses, les choix et les bilans. Avec l’envie d’encore croquer dans la vie à pleines dents. On reconnaît chez Greg Houben les influences d’Albin de la Simone, Benjamin Biolay, Gainsbourg ou encore Philippe Katerine.
Exceptionnellement pour cette soirée, le théâtre change de formule et propose une ambiance cabaret. Il troque son gradin par de petites tables, chaises et luminaires.
